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Recherche par lecteur : Jean-Claude Finot

2397 résultats. Page 108 sur 120.

Lu par : Jean Frisch
Durée : 2h. 18min.
Genre littéraire : Contes et légendes
Numéro du livre : 11546
Résumé:Les dix contes de Bernard Clavel, quels qu'en soient le lieu et l'époque, évoquent la justice retrouvée, la générosité qui se révèle, la solidarité simple et belle. Entre neige et feu de bois, tour à tour allégoriques et modernes, féeriques et inquiétantes, ces histoires prouvent combien la magique poésie des nuits de Noël sait nous émouvoir, encore et toujours.
Lu par : Jean Frisch
Durée : 17h. 19min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 11386
Résumé:De la guerre civile espagnole aux lendemains de la dictature de Franco, Dominique Lapierre brosse un portrait de l'Espagne à travers le destin d'un orphelin devenu milliardaire
Lu par : Jean Frisch
Durée : 6h. 37min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 12311
Résumé:Pour mettre un terme à leur éternelle rivalité, Dieu et Lucifer se sont lancé un ultime défi... Ils envoient en mission leurs deux meilleurs agents... Lucas et Zofia auront sept jours sur terre pour faire triompher leur camp, décidant ainsi qui du Bien ou du Mal gouvernera les hommes... En organisant ce pari absurde, Dieu et Lucifer avaient tout prévu, sauf une chose... Que l'ange et le démon se rencontreraient...
Lu par : Claude Fissé
Durée : 13h. 53min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15224
Résumé:Le héros de l'écrivain Pasavento est Robert Walser, dont il admire l'habileté à passer inaperçu. Vivre le destin de cet auteur signifie pour Pasavento se retirer du monde. Il veut s'éloigner et, un beau jour, il disparaît. Il se dit qu'on le recherchera, qu'il lui arrivera ce qui advint à Agatha Christie quand toute l'Angleterre s'était mise à ses trousses pendant onze jours et avait fini par la retrouver. Mais personne ne recherche le docteur Pasavento et peu à peu s'impose cette simple vérité personne ne pense à lui. Il aura alors recours à la stratégie du renoncement. Il va renoncer au moi, à sa grandeur et à sa prétendue dignité et en viendra même à croire que sa personne incarne à elle seule l'histoire de la disparition du sujet en Occident. Il se rend à l'asile d'aliénés suisse où Walser passa tant d'années à l'écart du monde et fait ses premières armes dans un art très singulier dans lequel son écrivain préféré était passé maître l'art de n'être rien.
Lu par : Jean Frey
Durée : 6h. 26min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 15220
Résumé:La sensation est la base de la connaissance. « Sans elle nous ne connaissons rien, pas même les principes universels et fondamentaux, car ils ne sont pas des données intellectuelles innées, mais ils sont saisis dans toute perception : ils sont universels parce que ce sont les principes de réalité » (Millet 1997). Aristote écrit « le sens est réceptif des formes sans leur matière ». Percevoir c'est recevoir par les organes des sens les effets des choses. Par exemple, un arbre a une forme matérielle, il existe sans nous. Lorsque je le reçois par mes sens (oeil, oreille...), il a un mode d'existence différente. De matériel dans la chose il devient spirituel en nous, mais c'est la même chose sensible (Saint Thomas d'Aquin). En d'autres termes, les données sensibles sont nécessaires. Elles résultent des propriétés réelles des choses. Ces propriétés causent dans nos organes sensoriels des effets, qui nous communiquent les formes sensibles des choses, sans la matière réelle de celle-ci. Par exemple, voir une pierre ce n'est pas l'avoir dans l'oeil ! Ce sont ses qualités sensibles (couleur, polie...) que je reçois.
Lu par : Jean Frisch
Durée : 5h. 47min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 11689
Résumé:Ce roman est le plus riche et le plus complet de l'ensemble de l' Histoire des Treize. Le général de Montriveau est épris de la duchesse de Langeais, une coquette qui se refuse à lui et qui disparaît. Aidé par les puissants Treize, sorte de franc-maçonnerie aux pouvoirs occultes comme Balzac aime à mettre en scène, il la poursuit jusqu'à un monastère espagnol où elle s'est réfugiée sous le nom de soeur Thérèse. Là, elle accepte de le recevoir en présence de la mère supérieure à qui elle fait croire que cet homme est son frère. Mais, au dernier moment, elle avoue sa faute en même temps que son amour longtemps caché pour Montriveau. Ce début amène un long retour en arrière, à l'époque où la duchesse menait le monde par le bout du nez, faisant ménage à part avec son mari et méprisant ses soupirants. L'esprit des Treize imprègne le roman, en particulier la scène de violence où l'on voit Montriveau, conseillé par Ronquerolle, menacer la duchesse de la marquer au front avec une croix de Lorraine rougie au feu. Dédié à Franz Liszt, ce portrait d'une coquette représentative des nobles familles du faubourg Saint-Germain... (wikipedia.org)
Lu par : Jean Frisch
Durée : 1h. 42min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 11604
Résumé:Un jeune homme, venu en Province pour raison de santé, s'introduit dans la vie d'une femme qu'un amour adultère rompu tient à l'écart de la société
Lu par : Claude Fissé
Durée : 10h. 41min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 13395
Résumé:La bohème à Berlin au début du siècle, quelques succès suivis d'années d'errance, de solitude, de travail harassant dans les mansardes de Bienne et de Berne, puis vingt-six années d'internement, dont vingt-trois ans de silence littéraire, avant de mourir dans la neige un jour de Noël: le tragique destin de Robert Walser (1878-1956), à la fois choisi et subi, est mystérieusement relié à son oeuvre, reconnue aujourd'hui comme l'une des plus importantes de la modernité littéraire. Au cours des années 1920, extrêmement productives, son art s'affermit, sou-verain, avec une liberté, une drôlerie, une ferveur, une légèreté et une acuité époustouflantes. C'est aux choses de rien, aux hasards du quotidien, que Walserfrotte l'allumette d'une écriture qui, l'espace de quelques pages, transfigure le monde. En témoignent les 77 proses choisies parmi les fameux "microgrammes". Il aura fallu une vingtaine d'années pour déchiffrer ces manuscrits inédits notés au crayon d'une écriture minuscule sur 526 feuillets disparates: enveloppes, marges de journaux, formulaires officiels, etc. Le présent recueil offre un premier aperçu en français de leur merveilleuse richesse.
Lu par : Claude Fissé
Durée : 9h. 55min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 13182
Résumé:
Lu par : Claude Fissé
Durée : 10h. 43min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 12797
Résumé:Simon Tanner a dans les vingt ans. Au début, on le voit demander de l'emploi dans une librairie et partir une semaine après en faisant la morale à son employeur : à son âge, il n'est pas fait pour rester penché sur un écritoire toute la journée. Plus tard, il sonne chez une logeuse. La maison est trop belle pour lui et il s'apprête à partir lorque Klara le prie de rester, même gratuitement. Ils sont rejoints par Kaspar, le frère peintre de Simon. Klara tombe rapidement amoureuse de Kaspar et de Simon, malgré son mari, un être difforme souvent absent. Ils ont la visite de leur frère Klaus, un médecin respectable qui engage Simon à se trouver une situation. Alors que Kaspar part vivre à Paris, Simon passe tout l'hiver chez sa soeur Hedwig, institutrice dans un village perdu. Elle l'acueille avec méfiance, mais bientôt une amitié intense s'installe, Simon s'occupe de tout et ils sont heureux. Repartant à la ville, il gaspille rapidement son argent, et raconte un soir dans un bistrot toute l'histoire de sa famille, sans oublier son frère Emil interné en hôpital psychiatrique. Une bonne dame le recueille...
Lu par : Jean Frey
Durée : 4h. 50min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 15188
Résumé:Toute l'histoire de la philosophie occidentale a sa source dans les dialogues de Platon qui ont donné lieu à de multiples interprétations...
Lu par : Jean Frisch
Durée : 3h. 12min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 10892
Résumé:Contient: Smithy (1961-1976) ; Le fils ; La saucisse ; Abu Hanifa et Anan Ben David ; Le vieux (1945)
Lu par : Jean Frisch
Durée : 3h. 37min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 10372
Résumé:Les symboles ont un usage bien plus quotidien qu'on ne l'imagine. Comme le disait Aristote, " le mot chien ne mord pas ", il est le symbole par lequel nous pouvons désigner la réalité du chien. Le rôle du symbolisme consiste donc à exprimer n'importe quelle idée d'une façon qui soit accessible à tout le monde. Cet ouvrage se propose d'analyser les mutations des signes depuis leur apparition jusqu'à leur lointaine métamorphose, notamment dans le domaine des mythes, et d'étudier ce qui se dresse entre la chose et l'idée : le symbole
Lu par : Jean Frisch
Durée : 5h. 53min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 10595
Résumé:À quoi rime la vie quand ceux qu'on aime sont loin, enfuis, à jamais perdus ? Quand on ne possède plus que rêves trahis et espoirs ténus ? Jeune ou vieux, sain d'esprit ou détraqué, fille des rues, amant exemplaire, pitoyable voleur, père créateur : dans ces nouvelles, chaque personnage s'avance jusqu'à la rédemption qui transcendera les coups bas du destin, la folie, la maladie, l'absence, la solitude, le deuil. Dense et incisive, la prose de Colum McCann ignore les frontières entre le réalisme, la poésie et l'allégorie. En filigrane de ces émouvants destins d'hommes et de femmes qui partagent l'attachement à leur Irlande natale, elle évoque avec générosité l'universel combat de tous ceux que la vie a exilés, loin de chez eux... ou loin d'eux-mêmes, tout simplement.
Lu par : Claude Fissé
Durée : 3h. 47min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 10627
Résumé:" Un soir, après le repas, j'allai encore en hâte au bord du lac drapé de je ne sais plus très bien quelle mélancolie pluvieuse et sombre. Je m'assis sur un banc sous les branches dégagées d'un saule et ainsi, m'abandonnant à des pensées vagues, je voulus m'imaginer que je n'étais nulle part, une philosophie qui me procura un bien-être étrange et délicieux. L'image de la tristesse sur le lac, sous la pluie, était magnifique. Dans son eau chaude et grise tombait une pluie minutieuse et pour ainsi dire prudente. Mon vieux père avec ses cheveux blancs m'apparut en pensées, ce qui fit de moi un enfant timide et insignifiant, et le portrait de ma mère se mêla au doux et paisible murmure et à la caresse des vagues. Avec l'étendue du lac qui me regardait comme je le faisais moi-même, je découvris l'enfance qui me considérait elle aussi, comme avec de beaux yeux limpides et bons..."
Lu par : Jean Frey
Durée : 10h. 52min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 15128
Résumé:
Lu par : Jean Frey
Durée : 11h. 49min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 16213
Résumé:L'ivresse qui traverse les romans de Rabelais ; la fougue qui emporte les corps sculptés par le Bernin ; le plaisir de tête qui préside aux stratégies libertines des "Liaisons dangereuses" ; l'effervescence de la pensée et des sens à l'oeuvre dans les fictions sadiennes ; le trouble suscité par la peinture érotique de tous les temps, telle que Bataille l'a scrutée : ce livre postule un lien intime entre les plaisirs de l'art et l'art du plaisir. Rabelais, Laclos, Sade, Bataille : on n'a cessé, en France, de vouloir les censurer, les discréditer, ou, pire encore, les rendre inoffensifs. Alors qu'ils représentent ce que l'esprit français a apporté au monde de plus singulier et de plus libre ; et qu'ils sont, aujourd'hui plus que jamais, le meilleur contrepoison au déferlement de bien-pensance que nous subissons. Ceux que j'évoque ici, pourtant, n'ont pas élaboré de morale hédoniste à proprement parler. Romanciers, artistes, c'est d'abord l'imagination qu'ils sollicitent, plus que la conscience ou la raison. D'où une réflexion, en contrepoint, sur l'art du roman, sa lucidité spécifique, son aptitude à dissoudre les préjugés. L'horizon indiqué, en tout cas, est celui d'un plaisir paradoxal : à la fois sans innocence et sans culpabilité.
Lu par : Claude Fissé
Durée : 2h. 47min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15234
Résumé:Un collège de jeunes filles en Suisse, en Appenzell. Une atmosphère d'idylle et de captivité. Arrive une " nouvelle " aux yeux sévères, cheveux raides comme des lames ; parfaite, comme si elle avait déjà tout vécu. Attirée par cette figure, la narratrice découvre la fragile frontière entre la perfection et la folie. Roman d'apprentissage d'une grande intensité psychologique, Les années bienheureuses du châtiment offre une vision pudique et généreuse d'une adolescence parfois nourrie de cruauté.
Durée : 8h. 7min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 12937
Résumé:Plus que les autres romans de Kundera, celui-ci est un roman d'amour. Tereza est jalouse. Sa jalousie, domptée le jour, se réveille la nuit, déguisée en rêves qui sont en fait des poèmes sur la mort. Sur son long chemin, la jeune femme est accompagnée de son mari, Tomas, mi-don Juan, mi-Tristan, déchiré entre son amour pour elle et ses tentations libertines insurmontables. Le destin de Sabina, une des maîtresses de Tomas, étend le tissu du roman au monde entier. Intelligente, asentimentale, elle quitte Franz, son grand amour genevois, et court après sa liberté, d'Europe en Amérique, pour ne trouver à la fin que «l'insoutenable légèreté de l'être». En effet, quelle qualité - de la gravité ou de la légèreté - correspond le mieux à la condition humaine ? Et où s'arrête le sérieux pour céder la place au frivole, et réciproquement ?
Lu par : Jean Frey
Durée : 3h. 12min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 15127
Résumé:... Dès le premier livre qu'il «avoue», Le chêne brûlé (1969), Gaston Cherpillod dit se concevoir, dans l'écriture, comme un soldat. Un soldat pas forcément ami de l'armée d'ailleurs, puisqu'en 1975, il est condamné à deux mois de prison avec sursis pour «menée antimilitariste». C'est qu'à ses yeux, les menaces ne se trouvent pas aux frontières. Elles sont entrées depuis longtemps dans le pays. Elles ont pour nom esprit de caste, soif du pouvoir, exploitation. Il ne les digère pas, comme il l'a noté dès ce premier Chêne brûlé. Né dans un milieu populaire, pauvre, puis étudiant à l'université, enseignant, il ne s'est jamais intégré à la classe qui aurait pu être la sienne, selon son parcours: il a trop vite perçu «l'idéologie de caste» de ceux qui fréquentaient les bancs des universités. Il a donc choisi son camp. Et ce n'était pas celui des dominants.